Une défense de sexsomnie acceptée en partie


Photo/image : La Presse

Un homme, accusé d’avoir violé une amie en pleine nuit, a été jugé non criminellement responsable de ses gestes pour cause de sexsomnie, un trouble rare par lequel une personne endormie peut avoir une relation sexuelle sans en être consciente.

« La preuve établit clairement qu’à l’époque, l’accusé souffrait de sexsomnie », a conclu mardi le juge André Perreault au palais de justice de Montréal. « La plaignante a bel et bien été victime d’une agression sexuelle […] Personne ne remet ça en question », a toutefois souligné le magistrat, en ajoutant que la victime était « fiable dans son récit ».


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