Un jugement paradoxal sur la Loi sur la Laïcité de l’État


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Le jugement de la Cour supérieure du Québec concernant la Loi sur la laïcité de l’État refuse de placer au-dessus de l’autorité législative les lois invoquées par les opposants à la loi, qui datent d’avant la Confédération. Ceux-ci ont cherché à faire flèche de tout bois, prétendant à certains effets juridiques durables de l’Acte de Québec de 1774, de la loi Hart de 1832 ou de la loi des « rectories » de 1852, dans laquelle on a voulu voir une première affirmation de la liberté de religion.

Toutefois, le citoyen trouvera très étroite la compréhension qu’a le juge de la laïcité, qu’il ancre entièrement dans la négative : elle est réduite à « l’absence », à « l’effacement » ou « au bannissement » de la religion « dans un certain espace public ». On s’attendait à plus de perspective…


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