Quand l'hypnose s’invite à la Cour: l'encadrement des souvenirs posthypnotiques dans les procès criminels


Photo/image : RJQ

Dans un dossier d’agression sexuelle historique dont les faits remontent à 1973 et 1975, quel poids doivent avoir les souvenirs du plaignant ravivés par des séances d’hypnose complétées en 2022? Un jugement récent de la Cour du Québec permet de s’intéresser à la procédure entourant l’admissibilité de ce type de témoignage.

Cela revêt une importance particulière où les faits se sont déroulés des décennies avant le procès et dans le cadre desquels la crédibilité de la personne relatant des faits vécus pendant l’enfance doit être appréciée de façon différente. Résumé et analyse de l’affaire.


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