Le tribunal choisit de surseoir au prononcé de la peine dans le dossier de l’accusé qui a menacé le premier ministre du Québec et le directeur national de la santé publique.


Photo/image : Thomson Reuters – Édition Yvon Blais

Parce qu'il n'était pas d'accord avec la manière dont la pandémie de la COVID-19 était gérée et qu'il se sentait trahi par le gouvernement dirigé par François Legault pour qui il avait voté, l'accusé a téléphoné au bureau de circonscription du premier ministre et a laissé deux messages téléphoniques menaçants visant ce dernier. Dans un de ces messages, l'accusé visait également le directeur national de la santé publique, Horacio Arruda.

L'avocat de la défense propose que l'accusé soit absous conditionnellement. De son côté, le ministère public suggère de surseoir au prononcé de la peine et de rendre une ordonnance de probation d'une durée de deux ans. Résumé de l’affaire.


Lire l'article complet sur Thomson Reuters – Édition Yvon Blais »