Le bilinguisme des juges mal évalué


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Une juge de la Cour du Québec nommée à un poste exigeant le bilinguisme s’est récemment révélée incapable de présider un procès en anglais, dans un imbroglio qui illustre les limites d’un système de sélection des juges sans évaluation formelle des compétences linguistiques.

La place de l’anglais à la Cour du Québec a été au centre du débat politique, mardi, après les révélations de La Presse quant à l’existence d’un conflit entre le ministre de la Justice et la Cour du Québec : le premier refuse d’exiger systématiquement la maîtrise de l’anglais à l’embauche, alors que la juge en chef, Lucie Rondeau, estime qu’un tel critère de sélection est essentiel pour plusieurs palais de justice.<3p>


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