Le besoin pressant d'uriner de la défenderesse peut excuser son excès de vitesse


Photo/image : Thomson Reuters – Éditions Yvon Blais

La défenderesse ne remet pas en cause le fait d'avoir conduit son véhicule à une vitesse de 140 km/h dans une zone où la limite permise est de 100 km/h. Elle plaide cependant avoir commis l'infraction par nécessité, son besoin pressant d'uriner lui ayant fait craindre de ne pouvoir se retenir davantage et d'uriner sur son siège.

Il s'agit de savoir si le besoin pressant d'uriner de la défenderesse peut excuser son excès de vitesse. Résumé et analyse de cette affaire.


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