La violence conjugale n’est pas assez prise au sérieux


Photo/image : DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

Pour fuir une relation « toxique », une femme s’est réfugiée chez ses parents avec ses deux bambins l’hiver dernier. Or, une juge l’a obligée à retourner dans la même maison que son ex pour élever leurs enfants.

La femme n’a toutefois jamais eu à retourner dans la résidence familiale en raison de l’intervention de la Cour d’appel, qui s’est prononcée pour la première fois sur l’imposition du nesting dans un contexte de violence conjugale. Le message du plus haut tribunal de la province : la « prudence » est de mise quand une femme dit être victime de violence.


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