La pénurie de greffières engendre des délais pour les victimes


Photo/image : Patrick Sanfaçon, archives de La Presse

La situation ne cesse d’empirer au palais de justice de Montréal. La démission de 100 greffières en trois ans au palais de justice de Montréal a des effets bien réels sur la population. À la mi-juin, au moins 3 salles d’audience étaient fermées quotidiennement le matin, alors que tout le monde était prêt à procéder.

Les conséquences de l’exode du personnel de cour s’observent au quotidien au palais de justice de Montréal. Avocats, accusés, victimes et témoins butent régulièrement sur des salles d’audience fermées, faute de greffières ou de constables spéciaux. Cela a pour effet d’embourber les rares salles ouvertes et de multiplier les reports, au risque de provoquer des arrêts du processus judiciaire de type Jordan.


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