La dénonciation de la gestion de la pandémie par une salariée : l'équilibre fragile entre devoir de loyauté et la liberté d'expression


Photo/image : Blogue du CRL

Dans la sentence arbitrale Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec c. Québec (Sécurité publique), l’arbitre de griefs Me Richard Mercier confirme la décision de l’employeur, le ministère de la Sécurité publique, d’avoir congédié une salariée ayant dénoncé la gestion de la pandémie et ayant fait la promotion d’idées issues de la théorie complotiste QAnon.

Tel que le souligne l’arbitre dans cette décision: « le devoir de loyauté ne signifie pas que l’employé est réduit au silence, mais celui-ci doit faire preuve de retenue dans ses propos ». Dans le contexte particulier de cette affaire, alors que la plaignante était soumis à de hautes obligations de loyauté et de réserve en raison de sa profession, l’arbitre de grief a confirmé la décision de l’employeur de congédier celle-ci. Résumé et analyse de l’affaire.


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