En prison pour avoir envoyé des photos intimes dans un contexte de porno-vengeance


Photo/image : Thomson Reuters

Une femme ayant envoyé des photos intimes de l’homme avec qui elle a eu une courte relation, dont celle-ci a été presque exclusivement virtuelle, vient d’écoper de 10 mois de prison à la suite du suicide de l’homme.

La principale caractéristique de la présente affaire demeure la façon dont l'accusée, déçue, a réagi à l'interruption de la relation, c'est-à-dire par la transmission de photos intimes à une tierce personne, sans son consentement, le tout motivé par la vengeance. Il s'agit d'un phénomène assez récent que l'on appelle porno-vengeance ou revenge porn en anglais. Cette infraction est punissable, lorsque poursuivie par acte criminel, d'un emprisonnement maximal de cinq ans.


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