Dissertation assassine


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En plus de l’avoir elle-même harcelée, l’Université du Québec à Montréal a abandonné à son sort une correctrice aux prises avec un groupe d’étudiants insatisfaits des notes qu’elle leur avait attribuées. Voilà ce que conclut en substance un arbitre de griefs dans une décision récente, qui s’est soldée par une condamnation de l’Université à payer 4 000 $ à titre de dommages moraux pour harcèlement psychologique.

L’intérêt présenté par cette décision n’est pas tant l’analyse que fait l’arbitre de la conduite de l’employeur, mais bien son appréciation du caractère vexatoire des multiples éléments invoqués par le syndicat. Résumé et analyse de l’affaire.


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