Des citoyens qui sont perdus dans le « labyrinthe de la justice ». D’autres qui ne connaissent pas les multiples lois et règlements, ni leurs droits, ou qui n’ont pas les moyens de se payer un avocat pour les faire valoir devant un tribunal.
Pour régler ces problèmes d’accès à la justice, l’Institut québécois de réforme du droit et de la justice (IQRDJ) lance mardi les États généraux sur le droit et la justice, afin de trouver des solutions concrètes et rapidement applicables.
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