Dédommagement inédit pour une locataire victime d'une éviction «de mauvaise foi»


Photo/image : Adil Boukind Le Devoir

Une artiste montréalaise qui s’est retrouvée en situation d’itinérance pendant plusieurs mois en 2018 après avoir été évincée « de mauvaise foi » de son appartement du quartier Mile End par un propriétaire qui en a triplé le prix du loyer s’est vu accorder un dédommagement inédit de 50 000 $ à la suite d’une décision du Tribunal administratif du logement (TAL).

En novembre 2017, elle reçoit un avis d’éviction parce que le propriétaire veut réunir plusieurs des logements de ce bâtiment en quelques appartements spacieux. À la suite du départ de la locataire, le propriétaire n’a toutefois pas réalisé ce projet d’agrandissement. Il n’a d’ailleurs pas obtenu de la Ville les permis requis à cet effet. Le logement a plutôt fait l’objet de travaux majeurs tout en conservant la même taille. On résume la décision du TAL.


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