De l’intelligence au droit artificiel


Photo/image : Laboratoire de cyberjustice

À grand renfort de données et de modélisations statistiques, les avancées et applications de l’intelligence artificielle (IA) en droit nous rappellent ces mots prophétiques du juge Holmes (1897), de la Cour suprême des États-Unis : « For the rational study of the law the blackletter man may be the man of the present, but the man of the future is the man of statistics and the master of economics. »

De son noyau éthique encapsulant les principes moraux généralement approuvés à une époque et lieu donnés, le droit s’est lentement émancipé pour tendre, de plus en plus, vers une régulation toujours plus fine et une intervention marquée dans les activités sociales des citoyens. À cet égard, les juges jouent un rôle essentiel dans l’écosystème juridique, avec le mandat – constitutionnel – d’appliquer et d’interpréter la loi, d’en combler les lacunes et de l’adapter, dans la mesure du possible, à l’évolution de la société.


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