Dans une décision récente du Tribunal administratif du travail du Québec (« Tribunal »), le plaignant conteste son congédiement imposé à la suite d'une altercation avec un des copropriétaires de l’entreprise dans le cadre d’une relation de travail conflictuelle. Le Tribunal rejette cette plainte et s’appuie notamment sur des faits survenus postérieurement au congédiement dans la justification de la sanction imposée par l’employeur.
Cette décision permet de rappeler les principes applicables en cas de fin d’emploi sans progression des sanctions et rappelle la possibilité d’utiliser en preuve des faits postérieurs au congédiement notamment lorsque ceux-ci sont pertinents et permettent de déterminer que la décision de l’employeur de congédier un employé était fondée au moment où il l’a prise. Résumé et analyse de l’affaire.
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