Les auteurs commentent cette décision dans laquelle la Cour supérieure accueille une demande de permission de se désister d’une demande d’autorisation d’exercer une action collective introduite à l’encontre d’une compagnie pharmaceutique et de ses filiales. Ce désistement était une condition à l’exécution d’une entente confidentielle intervenue entre les défenderesses et les membres potentiels à l’action collective qui avaient pu être identifiés à ce stade des procédures, incluant la demanderesse.
Le tribunal est amené à déterminer si cette entente est une « transaction » devant être approuvée en vertu de l’article 590 du Code de procédure civile. Résumé et analyse de la décision Deschênes c. Johnson & Johnson inc.
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