Au nom du père, le droit de s'appeler «papa»


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Un tribunal québécois maintient l’interdiction à un beau-père d’être appelé «papa» par l’enfant de sa conjointe, issue d’une précédente union. Une magistrate a récemment rappelé au couple de cette famille recomposée que le «papa» avait toujours ce droit exclusif, malgré ses accès restreints à l’enfant.

L’affaire va au-delà de la seule dénomination paternelle. Il s’agit d’une affaire de garde et d’accès à une jeune fille, qui, malgré le passé trouble de son papa, éprouve de l’affection envers ce dernier. Il est plutôt rare qu’une juge signe une interdiction formelle de permettre à un beau-père d’être appelé «papa». Résumé de ce dossier en droit familial qui remonte à 2015.


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