Au-delà du consentement, que faire de nos données ?


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Les données de la RAMQ ne peuvent être l’instrument de l’unique profit d’organisations privées. À la place, notre société devrait plutôt se questionner sur la manière dont elle souhaite valoriser ses renseignements personnels.

La question n’est pas uniquement celle du consentement du citoyen à donner ses données à ceux qui les veulent, mais par quels processus on régule la valorisation des données. En droit, cela voudrait dire que nous avons des mécanismes pour que les organisations qui reçoivent nos données rendent des comptes aux autorités, subissent des audits, bref, agissent selon le principe de transparence et en conformité avec la loi.


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